Si la conduite, pour la femme enceinte, demande avant tout de la vigilance, le transport de jeunes enfants est, lui, soumis à une réglementation précise qu’il est essentiel de respecter pour assurer leur sécurité lors d’un trajet en voiture.
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Il n’y a pas de contre-indication à la conduite pour les femmes enceintes. Toutefois, à l’approche du terme ou en cas de risque d’accouchement prématuré, il est recommandé de :
- tenir compte d’un état de fatigue accru ;
- limiter les déplacements ;
- éviter les longs trajets.
Le port de la ceinture de sécurité reste obligatoire : il protège la mère, comme l’enfant, en cas de collision. Pour être efficace elle doit être correctement réglée.
Il est obligatoire, lorsque l’on transporte des enfants en voiture, de les installer dans des dispositifs adaptés à leur taille et à leur morphologie afin de les protéger en cas d’accident.
On distingue 3 catégories de dispositifs en fonction du poids de l’enfant :
Ils doivent être installés dans un siège « dos à la route » ou un lit nacelle.
- Le siège « dos à la route » : il doit être maintenu par les ceintures 3 points ou par les points d’ancrage Isofix du véhicule qui offrent la meilleure protection du cou et des vertèbres cervicales. Le siège est fixé à l'arrière, sauf si l'airbag passager peut être neutralisé.
- Le lit nacelle : il doit être disposé parallèlement au dossier de la banquette arrière et fixé par des sangles aux points d'ancrage des ceintures de sécurité. L’enfant est lui-même attaché dans le lit.
Ils doivent être maintenus dans un siège baquet (fixé généralement sur un siège arrière à l’aide de la ceinture du véhicule ou à l’aide des points d’ancrage Isofix). L’enfant fait face à la route et est attaché dans son siège grâce à un harnais.
Les enfants doivent être installés dans un rehausseur permettant d'utiliser la ceinture de sécurité du véhicule.
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