A l'heure où les soignants sont en première ligne, la MACSF donne la parole à ceux qui s'impliquent tous les jours dans la lutte contre le virus. Découvrez le témoignage de Ludovic IDE solidaire dans la lutte contre le covid-19.
Inquiétude, pas de visibilité, beaucoup de nouveaux protocoles qui changeaient souvent, manque de sécurité car peur de ramener le virus à la maison et en dehors du port des masques, pas de surblouse, car ce service n’est pas une section covid-19 dédiée.
La brutalité de dégradation des patients, l’évolution du virus, la manière dont il attaque les organes (ex : les reins). De ne plus avoir de visites des familles qui jouent un rôle essentiel dans le projet de soins des patients, ce qui complique le travail notamment pour les patients qui ne sont pas covid-19. Le travail est différent aujourd’hui, nous n’avons plus forcément le contrôle, on est comme impuissant.
C’est de ne pas pouvoir aller aider les collègues de la cellule dédiée covid-19 en réa pour les soulager, car pas de formation en réa
Continuer à être solidaire ; le côté humain avait été oublié à l’hôpital. Le covid -19 fait mal mais il remet à plat la notion de « prendre soin » apprise lors de notre formation d’IDE, alors que nous étions dans le « faire les soins ». Il ne faut surtout l’oublier post covid-19, et continuer à s’en servir.
A l'heure où les soignants sont en première ligne, la MACSF donne la parole à ceux qui s'impliquent tous les jours dans la lutte contre le virus. Médecins, infirmiers, aide-soignants... Anonyme ou non, découvrez les témoignages recueillis par la MACSF sur les réseaux sociaux.