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Eric DUBOS

M. Eric DUBOS
Directeur financier
La direction financière gère l’ensemble des actifs financiers du Groupe (hors immobilier). Elle s’occupe à la fois des fonds propres du Groupe et des primes des sociétaires, aussi bien pour les activités vie que pour les activités non vie. Environ 30 milliards d’euros d’actifs financiers sont ainsi gérés par les 12 collaborateurs constituant la direction financière de la MACSF.
Afin d’être la plus efficiente possible, la direction financière a fait le choix de se répartir la gestion financière par équipe. Les équipes d’Eric Dubos sont en charge du Middle Office, de la trésorerie et de la gestion des obligations d’Etats ou d’entreprises.
Le Middle Office est en charge du bon déroulement de l’exécution d’un ordre sur les marchés financiers. Il est en relation étroite avec notre conservateur et la comptabilité.
L’équipe est également responsable de la gestion des risques financiers, enjeux majeurs pour la MACSF. Dans un contexte de marchés financiers très mouvants, une bonne gestion des risques financiers est indispensable pour sécuriser les opérations financières du groupe.
Les obligations représentent environ ¾ des encours gérés comme chez la plupart des assureurs français. En effet, les obligations présentent l’avantage de la visibilité puisque nous connaissons les dates de remboursement et les coupons qui nous seront versés au cours de la vie de l’emprunt. Le risque est celui du défaut de l’Etat ou de l’entreprise qui ne pourrait pas honorer ses engagements.
Les obligations d’Etat sont des titres de créances émis directement par des Etats se positionnant comme emprunteurs. L’Etat émetteur s’engage à rembourser le prêteur (ici la MACSF) dans le respect d’échéances déterminées au préalable, en échange d’intérêts versés périodiquement appelés également « coupons ». Les maturités de ces emprunts peuvent aller de 1 jour à 100 ans.
Les obligations d’entreprises fonctionnent de la même façon, mais cette fois l’emprunteur est une entreprise privée financière ou non. Les maturités de ces obligations sont plus courtes entre quelques jours et 20 ans. Le rendement y est meilleur que celui d’une obligation d’Etat, mais plus risqué car plus à même d’être impacté par la conjoncture économique.
A la MACSF, la direction financière prend en compte depuis quelques années la dimension RSE dans ses investissements, à travers les critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) mais également à travers sa politique ISR (Investissement Socialement Responsable). Cette prise en compte touche tous les actifs du groupe.
Les équipes respectent 3 grands critères :
- Des investissements sur des titres socialement responsables : la MACSF a pris plusieurs engagements via sa politique ISR. Par exemple en 2021, le groupe s’est engagé à détenir 8% d’investissements responsables sur son portefeuille obligataire, dont au moins 80% en obligations vertes.
- Respecter une liste d’exclusions : la MACSF exclu les entreprises du secteur du tabac, du charbon, les entreprises qui ne respectent pas les principes du Pacte mondial des Nation Unies et prochainement le secteur des hydrocarbures (pétrole ou gaz de schiste, sables bitumeux, etc…) de ses investissements.
- Mettre en place un dialogue avec les entreprises émettrices, pour qu’elles appliquent des politiques de productions plus vertes sans lesquelles la MACSF ne pourra plus investir dessus.
Afin d’être la plus efficiente possible, la direction financière a fait le choix de se répartir la gestion financière par équipe. Les équipes d’Eric Dubos sont en charge du Middle Office, de la trésorerie et de la gestion des obligations d’Etats ou d’entreprises.
Le Middle Office est en charge du bon déroulement de l’exécution d’un ordre sur les marchés financiers. Il est en relation étroite avec notre conservateur et la comptabilité.
L’équipe est également responsable de la gestion des risques financiers, enjeux majeurs pour la MACSF. Dans un contexte de marchés financiers très mouvants, une bonne gestion des risques financiers est indispensable pour sécuriser les opérations financières du groupe.
Les obligations représentent environ ¾ des encours gérés comme chez la plupart des assureurs français. En effet, les obligations présentent l’avantage de la visibilité puisque nous connaissons les dates de remboursement et les coupons qui nous seront versés au cours de la vie de l’emprunt. Le risque est celui du défaut de l’Etat ou de l’entreprise qui ne pourrait pas honorer ses engagements.
Les obligations d’Etat sont des titres de créances émis directement par des Etats se positionnant comme emprunteurs. L’Etat émetteur s’engage à rembourser le prêteur (ici la MACSF) dans le respect d’échéances déterminées au préalable, en échange d’intérêts versés périodiquement appelés également « coupons ». Les maturités de ces emprunts peuvent aller de 1 jour à 100 ans.
Les obligations d’entreprises fonctionnent de la même façon, mais cette fois l’emprunteur est une entreprise privée financière ou non. Les maturités de ces obligations sont plus courtes entre quelques jours et 20 ans. Le rendement y est meilleur que celui d’une obligation d’Etat, mais plus risqué car plus à même d’être impacté par la conjoncture économique.
A la MACSF, la direction financière prend en compte depuis quelques années la dimension RSE dans ses investissements, à travers les critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) mais également à travers sa politique ISR (Investissement Socialement Responsable). Cette prise en compte touche tous les actifs du groupe.
Les équipes respectent 3 grands critères :
- Des investissements sur des titres socialement responsables : la MACSF a pris plusieurs engagements via sa politique ISR. Par exemple en 2021, le groupe s’est engagé à détenir 8% d’investissements responsables sur son portefeuille obligataire, dont au moins 80% en obligations vertes.
- Respecter une liste d’exclusions : la MACSF exclu les entreprises du secteur du tabac, du charbon, les entreprises qui ne respectent pas les principes du Pacte mondial des Nation Unies et prochainement le secteur des hydrocarbures (pétrole ou gaz de schiste, sables bitumeux, etc…) de ses investissements.
- Mettre en place un dialogue avec les entreprises émettrices, pour qu’elles appliquent des politiques de productions plus vertes sans lesquelles la MACSF ne pourra plus investir dessus.